Important
Prérequis Ouvert aux diplômés de niveau 4 (BAC) et plus.
Durée 2 ans ou moins en fonction du profil..
Periode de stage : 14 semaines .
Financement Pris en charge par l'OPCO.
Moyen pédagogique Formateur professionnel du secteur, utilisation d’outils informatiques, vidéoprojecteur, support de formation délivrés aux apprenants
Télécharger le dossier d’information
Lien vers France Compétences
Lien vers le référentiel de la formation
Information Générale
Prix
Gratuit.
Références de la formation
RNCP :
RNCP37391 Formacode(s) :
Les différentes options :
|
Code(s) NSF :
Code (s) ROME :
|
Validation
Brevet de Technicien Systèmes numériques.
Possibilité de validation par Unité.
Date de session(s)
À la demande
Prenez rendez-vous
Pour toute inscription vous devez prendre rendez-vous pour un test de positionnement.
Objectifs de la formation
Objectif du diplôme
Ce technicien supérieur travaille au développement d’objets interconnectés dans l’industrie (automobile, transport ferroviaire), dans l’habitat pour optimiser les consommations énergétiques mais aussi dans le tertiaire pour faciliter l’accès des usagers aux services (courses, surveillance, alertes). Chez les installateurs, les architectes/systémiers, les équipementiers électroniques, les sous-traitants et fabricants de composants, les savoir-faire électroniques sont surtout présents dans les fonctions de conception, d’industrialisation, de test, de production et de maintenance/réparation.
L’option électronique et communications forme l’élève à proposer une architecture matérielle/logicielle qui contribue à modéliser tout ou partie d’un produit. L’usage de composants complexes dans des dispositifs électroniques et la mobilisation des moyens de télécommunication de bas niveau sont sa spécialité. Le diplômé est capable de mettre en œuvre la solution matérielle/logicielle à partir de l’analyse d’un cahier des charges et de l’installer chez le client. Il réalise de nombreux tests de conformité et rédige une documentation technique. Il occupe des fonctions plus ou moins encadrées par des ingénieurs. Dans le secteur de l’électronique, les techniciens supérieurs se retrouvent majoritairement dans les fonctions d’exploitation et de support (achats, installation, maintenance, assistance technique).
Le métier
Activité principale
Le titulaire du BTS Systèmes numériques travaille sur le développement d’objets interconnectés pour faciliter l’accès aux services des usagers (courses, surveillance, alertes), optimiser les consommations énergétiques et faciliter l’accès aux transports. Grâce à l’innovation électronique, vont se développer de nouveaux marchés et services dans trois domaines clés : la santé, la sécurité et l’environnement. Compte tenu de la diffusion très large du numérique, on retrouve des compétences électroniques chez de nombreux acteurs au sein de la filière : installateurs, architectes/systémiers, équipementiers, sous-traitants, fabricants de composants. Au sein de ces entreprises, les savoir-faire électroniques sont essentiellement présents dans les fonctions de conception, d’industrialisation, de savoir-faire électroniques sont essentiellement présents dans les fonctions de conception, d’industrialisation, de test, de production et de maintenance/réparation. La poursuite de la diffusion de l’électronique dans de nouveaux secteurs (santé, habitat et énergie, etc.) conduira à l’évolution et à la création de nouveaux métiers set services.
Le BTS Systèmes numériques propose donc deux options :
La spécialité Informatique et réseaux (IR) : Une composante plus proche des réseaux et de leur sécurité, des systèmes embarqués, du cloud computing et de la programmation des systèmes.
La spécialité Électronique et communications (EC) : Une composante voisine de la commande rapprochée, de l’usage des composants complexes, de la pré-industrialisation des dispositifs électroniques, de leur maintenance, et de la mobilisation des moyens de télécommunication dans les couches de bas niveau. L’option B « Électronique et communications permet de se focaliser sur la commande rapprochée, l’usage des composants complexes, la pré-industrialisation des dispositifs électroniques, leur maintenance et la mobilisation des moyens de télécommunication dans les couches de bas niveau.
Missions principales
Dans les entreprises, les institutions, les collectivités locales, les associations, ce technicien conçoit et met en œuvre des opérations de communication qui peuvent revêtir un caractère publicitaire, événementiel ou relationnel dans le cadre de campagnes commerciales, institutionnelles, sociales ou publiques. Il exerce son activité dans différents types d’organisation tels que les annonceurs (entreprises industrielles, de services, administrations, collectivités territoriales, associations…), les régies et médias et enfin les agences de communication. Il collabore à la création des formes et contenus de communication qu’elle soit interne ou externe, dans le cadre de la stratégie fixée par la direction de l’organisation. Il met en œuvre des projets de communication et assure leur suivi. Il est responsable de la gestion de la relation avec l’annonceur, les prestataires.
Egalement, il met en place une veille permanente. Il coordonne, planifie et contrôle les différentes tâches de communication. Il détermine le budget nécessaire aux opérations de communication et assure le suivi dudit budget. Il veille au respect de la qualité et de la déontologie particulière à la profession.
il exerce trois missions essentielles qui sont la mise en œuvre et le suivie de projets de communication, le conseil et la relation annonceur et enfin la veille opérationnelle.
Qualités requises
- Avoir de l’intérêt pour tout ce qui est lié au monde de l’entreprise, plus particulièrement son image, ses méthodes de communication, son contexte économique,
- Savoir s’organiser et être autonome,
- Aimer le travail en équipe pour mener à bien des projets de communication,
- Avoir des aptitudes pour les métiers qui demandent de l’aisance relationnelle,
- Etre à l’aise avec l’outil informatique,
- Etre créatif pour pouvoir concevoir des supports de diffusion de l’information,
- Etre curieux…
Accessibilité
Délai d’accès
Entrée en formation dans un délai de trois jours minimum une fois l’accord de l’entreprise obtenu.
Modalités d’instruction de la candidature
L’instruction du dossier de d’admission est rapide. En deux jours minimum une première réponse concernant la faisabilité de l’inscription est donnée au candidat sur la base du formulaire de préinscription transmis, sous réserve que toutes les pièces soient fournies.
Téléchargement du formulaire de préinscription
La décision définitive intervient après le respect des étapes de l’instruction indiquées ci-dessous :
- Une vérification administrative est d’abord réalisée, notamment avec la vérification des pièces nécessaires à l’inscription ;
- Un dossier d’admission permettant une analyse partagée de l’opportunité de l’inst sera élaboré avec le candidat pour instruction et prise de décision.
- Une évaluation du niveau de l’apprenant au regard du référentiel sera effectuée avec le centre de formation et, si possible, avec l’entreprise d’accueil ;
- L’instruction s’achève avec la décision d’inscription prise en concertation avec l’entreprise ou uniquement par le CFA si l’entreprise d’accueil n’a pas encore été trouvée.
L’étude personnalisée concernant l’inscription définitive peut être effective en trois jours minimum en fonction des disponibilités de l’entreprise d’accueil pour finaliser le dossier et convenir des modalités particulières.
Rappel : une formation en alternance peut commencer sans avoir trouvé l’entreprise d’accueil, mais le contrat d’apprentissage ne sera effectif qu’avec la signature d’un contrat de travail avec l’entreprise. L’idéal est de mener de front la recherche d’un employeur et l’inscription dans un organisme de formation.
Adaptation de la formation
Dans une certaine mesure la formation peut être adaptée selon :
- Le test de positionnement : proposition de remise à niveau tout au long de la formation ;
- Les disponibilités indiquées en entrée en formation : un accord pourra être recherché afin de pallier les indisponibilités temporaires ou régulières. Cela doit déboucher sur un compromis avec engagement des parties sur une période d’essai ; Des plages horaires sont le plus souvent mises en place pour réaliser des rattrapages, des approfondissements, mises en situation ou révisions.
- Le niveau d’autonomie de l’apprenant : une organisation spécifique pourra être mise en place afin de concilier le rythme de la formation au niveau d’assimilation des connaissances et des compétences par l’Apprenant. Aucune contrainte sur l’équipe enseignante ne pourra s’exercer en cas de variation de ce rythme au-delà du niveau de progression moyen considéré comme normal.
- Préparation des épreuves : des périodes de cours intensifs sont en général mise en place avec l’équipe pédagogique et si nécessaire avec l’appui et/ou l’accord de l’entreprise d’accueil, le cas échéant.
- Une entrée en formation décalée : intégrer une formation ayant débuté est tout à fait possible, après l’étude du dossier de candidature ainsi qu’un test de positionnement. Que ce soit pour un apprenti envisageant l’alternance, à condition d’avoir un employeur, ou une scolarité en continue avec une période de stage.
- Accès à l’établissement hors heures de cours : CEVEDOM reste ouvert pour tout apprenti souhaitant utiliser le matériel, une salle pour avancer sur un projet ou effectuer un contrôle de connaissance qui susceptible d’être noté ou tout autre demande. Sous réserve d’accord.
- Les candidats en situation de handicap : en plus des actions menées au quotidien lors de la formation par le Référent Handicap de CEVEDOM, les candidats en situation de handicap (physique, moteur ou sensoriel) peuvent bénéficier de conditions particulières d’aménagement de leur poste de travail lors des cours, mais aussi s’agissant de l’organisation des épreuves, afin de leur permettre d’y participer dans les meilleures conditions possibles.
- Mobilité des apprenants : une période de mobilité à l’étranger dans le cadre d’un contrat en alternance s’organise. La loi du 5 septembre 2018 a renforcé la mission confiée aux CFA, destinée à encourager la mobilité des apprentis, notamment en encourageant l’identification d’une fonction de référent mobilité au sein de ces structures. Les démarches seront sensiblement différentes en fonction de la durée de la mobilité et du modèle choisi (« mise en veille » du contrat ou « mise à disposition » de l’alternant). Notre Référent Mobilité désigné plus haut sera votre interlocuteur privilégié.
PROGRAMME :
Unité 1 – Culture générale et expression
- Appréhender et réaliser un message écrit
- Respecter les contraintes de la langue écrite
- Synthétiser des informations : fidélité à la signification des documents, exactitude et précision dans leur compréhension et leur mise en relation, pertinence des choix opérés en fonction du problème posé et de la problématique, cohérence de la production
- Répondre de façon argumentée à une question posée en relation avec les documents proposés en lecture
- Communiquer oralement
- S’adapter à la situation : maîtrise des contraintes de temps, de lieu, d’objectifs et d’adaptation au destinataire, choix des moyens d’expression appropriés, prise en compte de l’attitude et des questions du ou des interlocuteurs
- Organiser un message oral : respect du sujet, structure interne du message
Unité 2 – Langue vivante étrangère
Compréhension et expression orales au niveau B2 :
- Comprendre des productions orales ou des documents enregistrés
- S’exprimer à l’oral en continu et en interaction
Compréhension de l’écrit au niveau B2 :
- Assurer une veille documentaire dans la presse et la documentation spécialisée de langue anglaise
Unité 3 – Mathématique
S’informer : savoir utiliser une documentation
- Chercher : identifier des données et élaborer des stratégies
- Modéliser : représenter des objets du monde réel en utilisant le langage mathématique
- Raisonner, argumenter
- Calculer, illustrer, mettre en œuvre une stratégie : mener efficacement un calcul simple, manipuler des expressions symboliques et pouvoir s’appuyer sur les outils numériques
- Communiquer
Unité 4 – Étude d’un système numérique et d’information
- Analyser et compléter un dossier de spécifications techniques
- Valider le choix d’une architecture matérielle/logicielle
- Contribuer à la modélisation de tout ou partie d’un produit
- Proposer des corrections ou des améliorations
Unité 5 – Intervention sur un système numérique et d’information
- Préparer la solution et le plan d’action
- Mettre en œuvre une solution matérielle/logicielle en situation
- Effectuer la recette d’un produit avec le client
- Installer un système d’exploitation et/ou une bibliothèque logicielle
- Installer un dispositif de correction et/ou mise à jour de logiciel
- Superviser le fonctionnement d’un produit matériel/logiciel
- Analyser les comptes rendus d’exploitation
- Diagnostiquer les causes d’un dysfonctionnement
- Dépanner une installation matérielle/logicielle
- Assurer la traçabilité
ORIENTATION
FORMATION SIMILAIRE
- TP Développeur web et web mobile
POURSUITES D’ETUDES
- TP concepteur développeur d’application
DEBOUCHES
OPTION A : Informatique et réseaux
- Administrateur de réseaux
- Informaticien industriel
- Technicien télécoms et réseaux
- Technicien supérieur en informatique
- Technicien bureau d’études
- Développeur d’applications
OPTION B : Electronique et communications
- Responsable du service après-vente
- Technicien de maintenance en informatique
- Technicien d’essais
- Technicien électronicien
- Technicien télécoms et réseaux
- Technicien en maintenance électronique
STATISTIQUES
Nos statistiques par formation sont aussi accessibles via le site du gouvernement Karoussel
Réclamation
Planning
Heures | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi |
---|---|---|---|---|---|
8 h |
Entreprise |
Entreprise |
Entreprise |
cfa |
cfa |
9 h | |||||
10 h | |||||
11 h | |||||
12 h | |||||
13h | Pause | Pause | Pause | Pause | |
14h | |||||
15h |
Entreprise |
Entreprise |
cfa |
cfa |
|
16 h | |||||
17 h18 h |